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On trouve en particulier :églefin, espadon, hareng, maquereau, sardine, saumon, thon rouge, merlu, truite, cabillaud
Tous les fruits de mer et huitres sont également très bien pourvus en oméga 3.
D’un point de vue réglementaire, tous les poissons peuvent revendiquer l’allégation "riche en oméga 3".
-Teneur en graisses musculaires très faibles pendant toute l’année.
-Minimes variations en eau -
-Foie plus volumineux riche en huiles (huile de foie de morue)
-poissons maigres(0.5 à5%) : merlan, sole, dorade, cabillaud, truite, colin…
-poisson demi-gras(5 à10%) : maquereau, sardine, saumon, thon…
-Grande variation des teneurs en graisses musculaires selon les saisons
-Corrélation inverse entre les teneurs en eau et en lipides
-Foie de petite taille.
-poisson gras(> 10%) : anguille, hareng…
50 à 70 mg pour 100 g.
Teneur assez élevée pour les crustacés.
Les coquillages (les huîtres comme les Gillardeau ou les Courdavault ,les huîtres speciales, moules de bouchot, amande de mer …) contiennent des quantités modérées de cholestérol.
Peu de calcium.
Source importante de phosphore. Pour les poissons de mer : source d’iode.
Richesse en sélénium.
Moins riche en fer que la viande.
Pour les coquillages, les huitres et crustacés, les minéraux sont souvent présents en quantité plus importante.
Les poissons frais sont une bonne source de vitamines du groupe B (en particulier B12) et de vitamine E.
Les vitamines A et D sont également abondantes dans les poissons gras et surtout dans le foie de poisson (huile).
Vitamine D : saumon, hareng, limande, bar, sardine, maquereau,cabillaud, rouget barbet, oeufs de poisson,les huîtres.
Oligo-élément indispensable à la fabrication des hormones thyroïdiennes extrêmement importantes lors de la croissance foetale notamment pour la formation du système nerveux.
Les produits de la pêche et de l’aquaculture contribuent comme aucun autre aliment à la couverture des besoins en iode. Bar, cabillaud, carrelet, lieu noir, églefin, crevettes grises, homard, huître gillardeau, huitre de marennes,huitre de Bretagne, moule de bouchot sont riches en iode.
La mortalité coronarienne diminue lorsque la consommation de poisson frais, fruits de mer, huitres..augmente.
Elle est réduite de 50% chez ceux qui consomment plus de 30 g de poisson frais par jour soit 2 plats cuisinés de poisson par semaine par rapport à ceux qui n’en consomment pas.
N’est pas plus faible pour une consommation de plus de 45 g par jour. (Source Étude prospective –Kromhout 852 hommes de 40 à 59 ans suivis 20 ans)
Risque de mortalité cardiovasculaire
Consommation de poisson,fruits de mer, huitre.. : 1 à 3 fois par mois : 0.89
1 fois par semaine : 0.77
2 à4 fois par semaine : 0.62 5 fois par semaine et plus : 0.62
Source : Rencontres de l'aquaculture et de la pêche professionnelle 2006
Amélie Cayzeele, Ingénieur chargée d’études Service de Nutrition du Dr Jean-Michel Lecerf Institut Pasteur de Lille